« Libérez toutes les formes de beauté en puissance dans le génie natal, libérez les poèmes qui attendent l’heure de naître, afin qu’un jour prochain, dans ce petit pays redevenu libre et beau, un peuple sente, à en pleurer d’émotion, la joie et la grandeur de vivre. »
Lionel Groulx, 12 février 1936.